♠♥ CARACTERE: Hou-chi Chéng a l'air d’un enfant timide ou bien d’un adolescent en pleine crise de « snobisme ». Mais en tout cas, il n’a rien d’un adulte. Il est capricieux, gourmand, sensible mais par-dessus tout cela, il reste tout de même réservé. Il ne prendra pas le temps de dire ses envies ouvertement. Pourtant dans son petit crâne, il s’en passe des choses. Mais il reste calme, ne s’énerve que très rarement, que si on le pousse vraiment à bout.
Il ne va jamais dévoiler ses sentiments par des mots. S’il aime quelqu’un il lui fera comprendre par un regard ou une étreinte (ce qui serait se surpasser pour lui, qui a une peur folle du contact physique), mais n’osera jamais dévoiler ce qu’il ressent par des mots. C’est quelqu’un de froid au premier abord, il est ainsi en parti à cause de son histoire. En fait, Hong Kong n’aime pas parler, donner son avis, s’expliquer longuement. Il trouve que c’est une perte de temps. Alors, il laisse faire les choses espérant que cela s’arrangera. Cela ne lui empêche pas de dire ce qu’il pense, brièvement, sèchement, à ceux qui l’entourent. Sur ce point, Hong Kong est énervant. Il va lancer un regard détaché sur les choses tout en dénonçant leur cruauté ou leur inutilité, leur défaut tout du moins. Si on ne le comprend pas, il ne va pas chercher plus loin. Il lancera souvent, avec un air détaché un « tant pis » énervant tout ceux qui essaieront de le comprendre. Sa manière de parler, elle aussi, est tout sauf celle d’un adulte, il parle de manière enfantine ou bien de manière adolescente, grossière même parfois. Hong Kong est une personne difficile à cerner et même lorsqu'on l'a cerné, il est difficile de savoir comment réagir avec lui.
♠♥ PHYSIQUE: Tout comme un bon asiatique qui se respecte, Hong Kong n’a pas les cheveux blonds ni les yeux bleus. Mais tout de même, ses yeux bruns sont clairs et ses cheveux ne sont pas tout à fait couleurs ébène et virent plus au châtain.
Son visage est fin, encadré par deux mèches un peu plus longues que le reste de ses cheveux. Il a également une mèche qui cacherait presque son œil droit s’il la laissait pousser encore un peu. Heureusement, ses jolis yeux, bien qu’inexpressifs, sont perceptibles. Sa bouche, qui fait souvent la moue et ne s’élargit jamais en un grand sourire est fine et de couleur claire. En sommes, Hou-Chi aurait tous les atouts pour attirer la gent féminine, et pourquoi pas masculine, mais son air détaché, nonchalant et son regard dans le vide surpassent tous ses attraits et le rendent secret… presque inabordable.
Hong Kong est de taille moyenne. Le plus souvent, il porte un habit typiquement chinois, son préféré c’est sa tunique rouge aux manches trop longues pour lui. Mais il lui arrive de changer totalement sa manière de s’habiller, sans raison, juste pour le plaisir d’adopter un autre style que celui de son grand frère Chine.
♠♥ HISTOIRE: Lorsqu’il était petit, Hong Kong vivait avec sa famille, son grand frère, Wang Yao, s’occupait de lui. Il ne l’aimait pas particulièrement, il ne le détestait pas non plus. Il s’en moquait. Il aimait le calme et vivait de façon appréciable, tranquillement. Il se rendit compte de tout le bien que lui apportait Chine lorsqu’il fut violemment séparé de lui. Mais il ne dit rien. Ne fit rien pour que les choses se passent autrement. Tout le monde s’apprête à dire « il s’en moquait ». Mais ce n’est pas vrai. Hong Kong est une personne sensible, surtout à la bonne nourriture, à ses jouets et aux pandas. Lorsque, durant la guerre de l’opium, Arthur Kirkland l’arracha à son foyer, il ne dit rien. Mais lorsque celui-ci lui fit gouter sa nourriture, il pleura celle de Chine. Il n’avait gardé avec lui que son panda, c’était son seul compagnon, son confident. Finalement, il s'entendit plutôt bien avec Angleterre.
Puis, à peine se fut-il habitué au tournent qu’avait prit sa vie paisible et aux tourments qui l’habitaient, il lui arriva quelque chose de très noir. Lorsque je parle de ces tourments, je veux parler du souci qu’Angleterre avait à pouvoir le défendre, de ses diverses maladies qui étaient toujours nuisibles à son commerce, de ses blessures durant quelques années qui l’affaiblirent fortement… Mais tout cela n’était rien face au Noël Noir.
En effet, Hong Kong qui aimait bien Noël, pour tout ces cadeaux qu’il rêvait de recevoir, en reçu un pire que tout : Japon. C’est le 8 décembre 1941 que Japon attaqua Hong Kong. Hong Kong s’en moquait, ce n’était qu’une histoire malheureuse de plus qui allait passer. Mais la défense tomba quelques jours plus tard, ce noël sombre, ce 25 décembre 1941. Ce fut une grande rupture dans l’histoire de Hong Kong, son économie chuta. Japon voulait que Hong Kong devienne comme lui et lui montrait sans cesse des manières de faire, fit changer le dollar par le Yen par exemple. Lorsque Japon laissa Hong Kong seul, celui-ci trouva ses forces très réduites…
Heureusement, avec la période du « grand bon en avant », bien que ce ne fût pas une bonne période pour son frère Chine, Hong Kong retrouva une bonne économie. Il était souriant et faisait face à ses problèmes seul, il avait presque l’impression d’être indépendant. Mais en 1982, Angleterre et Chine se posèrent la question sur l’avenir de Hong Kong. Angleterre maintenait que Hong Kong lui avait été donné pour toujours et Chine refusait cela. Hong Kong s’en moquait, il écoutait ce qu’il se passait sans plus d’intérêt.
Au final, le 1er juillet 1997, Angleterre rendit son frère à Chine.
♠♥ TEST RP: Il pleuvait ce jour là, Hong Kong avait oublié son parapluie et s’apprêtait à entrer dans la salle du conseil, trempé. Il n’en avait aucune envie et s’y rendait nonchalamment parce qu’il y était forcé. Il se demandait parfois, pourquoi on l’y conviait alors que Chine y était. Son grand frère était très bien apte à parler pour lui. Mais quelque part, il était curieux d’entendre ce qu’aurait à dire Japon sur les événements récents catastrophiques et ce que rétorqueraient Angleterre, France et Chine.
Hou-Chi Chéng entra dans la vaste salle, Japon, Angleterre et Chine se trouvait là, déjà assis, faisant part d’une grande concentration et d’un grand silence. Hong Kong ne fit pas disparaitre ce calme, au contraire, il l’accentua encore plus. Il lança simplement un regard sans signification à Angleterre, celui-ci baissa la tête, comme par gène. Puis il parcourut les visages de chacun et se rendit compte de l’absence de France. En lui, il s’imaginait déjà son retard et la réaction d’Angleterre. Ce qui ne loupa pas.
France apparut à l’entrée de la porte, un grand sourire de fierté aux lèvres, ses cheveux tout juste soigneusement lavé, une odeur de parfum émanant de lui et s’exclama
« -Celui que vous attendiez tous est enfin parmi vous !
-Ce retard, c’est du sérieux. »
Et voici qu'Angleterre et France se lançaient des regards de défis l’un et l’autre, à se demander si derrière toute cette haine il n’y avait pas en grande parti un amour qui se cache.
Japon prit la parole, sereinement.
« Nous sommes réunis aujourd’hui afin de discuter d’un sujet actuel et dramatique: les catastrophes naturelles… »
Hong Kong ne put s’empêcher de répondre en regardant son panda qu’il avait posé sur la table.
« Surtout pour toi. » Japon ignora la réplique du jeune Hong Kong, comme si celui-ci s’adressait réellement à sa peluche, et continua sur un même ton, calme et posé, tout en accentuant tout de même sur le début de sa phrase, faisant comprendre qu’il avait en réalité très bien entendu Hong Kong.
« Qui nous concerne tous. Qui cause de plus en plus de catastrophes. Des solutions ? Des remarques pour faire avancer des choses ? Des inquiétudes ? »
Personne ne répondit dans la salle. Des regards s’échangeaient. Chacun attendait que ce soit l’autre qui prenne la parole. Angleterre regardait Hong Kong et quand celui-ci lui rendait un regard vide de tout sentiment, Angleterre détournait le regard. Chine commença à se lasser de ce jeux entre son petit frère et Angleterre et prit la parole, avec un léger sourire, plein de sympathie.
« Angleterre, tu n’as rien à dire ? Pourtant, je crois bien lire en ton regard quelques reproches pour Japon. »
Angleterre rougit et se décida à prendre la parole.
« Je pense que nous avons tous le même avis sur ce qu’il s’est passé récemment pour Japon. Ce séisme, ce tsunami et le problème avec les centrales, c’est beaucoup, c’est même énorme. Et pour être sérieux, je pense que tu as eu tort de minimaliser les événements et le nombre de morts. Il faut toujours dire la vérité, quitte à catastropher la population, il faut informer, réellement les faits. »
France ricana et dit à la légère : « Pour une fois, on peut dire qu’Angleterre a bien parlé. »
Japon n’osa répondre à cela, pour lui, il avait agit comme il le fallait. De façon surprenante c’est Chine qui vint à son secours en rétorquant : « Excusez-moi de prendre la parole, nous sommes ici pour parler des catastrophes naturelles en générale et non pas du désastre qu’est arrivé à Japon récemment. »
Le silence se fit, Hong Kong commençait à s’ennuyer de ces discours qui se faisaient de plus en plus longs et de plus en plus sérieux. Chine continua ce qu’il était en train de dire après ce moment de silence et de remise en question.
«-Rappelons nous de toutes ces catastrophes, inondations, avalanches, incendies de forêt, cyclones, tempêtes..
-Je tiens tout de même dire, qu’en rapport avec la tempête de l’an dernier, j’ai pris des mesures de sécurités, depuis, beaucoup d’endroits sont interdits à la construction. » dit fièrement France.
« Mais tu as attendu que la catastrophe arrive pour réagir un tant soit peu » lui rétorqua Angleterre.
Japon : « C’est vrai qu’il faut réagir avant la catastrophe, il faut mettre au point des systèmes avant qu’elle ne s’écrase sur nous. C’est ce que j’avais fait. Malheureusement parfois ça ne suffit pas. Je vous engage à faire de même, protéger le plus possible votre territoire des éventuelles catastrophes. »
Tout le monde se mit à parler en même temps et ce fut un brouhaha terrible. Des critiques et des vantardises (surtout du côté de France pour celles-ci) fusaient et plus personne ne s’écoutait. Tout le monde restait pourtant sérieux et assis à sa place, mais tentait tout de même de faire entendre sa voix et clamait donc ce qu’il avait à dire. Angleterre pensait soit disant qu’il était à l’abri de toutes catastrophes et n’était pas mieux que France qui ne réagissait qu’après, Japon avait une île dangereuse et ferait mieux d’arrêter toutes technologies, Chine n’avait rien à dire car lui aussi avait du faire face à des séismes et des inondations, comme tout le monde…
Puis, il y eut enfin un moment de silence, cette fois-ci rempli de tensions. Hong Kong en profita pour se lever et dire ironiquement d’un ton très neutre
« C’est fini, on a réglé tous les problèmes. » Tous se regardèrent, désespérés, gênés de s’être emportés. Ils se levèrent et se saluèrent. Une fois de plus, n’ayant rien changé à la situation, le conseil International se finissait dans la joie et la bonne humeur.
♠♥ AIME: Les Pandas. C’est une des rares choses qui est sûre et que tout le monde sait : Hou-Chi Chéng aime les pandas. Il aime les serrer contre lui et leur chuchoter sa petite vie qui le tourmente. Beaucoup pensent que Hong Kong aime rêver. C’est surtout qu’il aime être tranquille et ne pas se prendre la tête comme le font les adultes.
Les Egg Tarts, c'est son petit pêché mignon, il ne saurait y résister.
♠♥ N'AIME PAS: Les longs discours, les longues explications, les longs mots…
Ce n'est pas qu'il n'aime pas Japon, mais il a quand même du mal à l'apprécier, à cause de la cicatrice qu'il a laissé à Chine.
♠♥ AVATAR: Hong Kong de Hetalia~
♠♥ AVOIR UN GRAND FRERE?: [x ]OUI [ ]NON
♠♥ TEINTE SOUHAITÉE: #330033
♠♥ ET AUTRES: « A trop vouloir frapper ses ennemis, on finit par donner des coups à ses amis. » Proverbe du panda.