♠♥ CARACTERE:
Il y a bien des façons de décrire le caractère de Wales! Les anglais le trouve sournois? Mais quoi de plus normal pour un pays dominé, il faut bien développer de quelconques techniques pour se stabiliser financièrement et pour ne pas perdre totalement la face. Non, ce que les anglais appellent de la fourberie Pays de Galles préfère appeler ça de la « malice », même si cela reste de la pure hypocrisie de sa part. Effectivement, il est bel et bien sournois et a une fâcheuse tendance à profiter de tout et n'importe quoi, ce serait le genre de personne à attendre la fin d'un affrontement pour aller faire les poches aux morts, mais peut importe ils n'en ont plus besoin!!
Notre cher Pays de Galles est aussi un peu brute de décoffrage, bien qu'il sache se contenir, son sang boue avec une facilité déconcertante! Les emportements sont nombreux et à ce jour on ne les compte plus, mais pour découvrir ce caractère bien trempé il faut s'être posé en tant qu'ennemi de la nation, Pays de galles est le genre de personne qu'il faut caresser dans le sens du poil, sans quoi il mord! Mais il peut aussi s'avérer être une personne tout à fait charmante et pleine de courtoisie, bien que peu patient, car après tout il sait se montrer accueillant.
Et une des principales raisons qui pourrait le pousser à vous haïr ce sont les moqueries sur sa culture. Oui Wales est quelqu'un de extrêmement attaché à ces racines, pour vous dire, chez lui on parle encore Celte! Et vous n'avez pas intérêt à vous attaquer à cette langue peu commune, à moins que vous ne souhaitiez qu'il vous envoie les red dragons(*) sur le dos. Son histoire c'est sacré, il est comme ça, quitte à passé pour une personne avec des principes dépassés. Et loin des gentlemen Anglais, la nation a plutôt reçu une éducation paysanne, gardant quelques séquelles, si on peu appelé cela ainsi, de cet apprentissage champêtre, Wales reste très proche de la nature et a souvent du mal à supporter l'urbanisation. Mais en tant que présente principauté, notre ami gaélique à tout de même développé de nombreuses valeurs malgré le fait qu'il soit plus proche du paysan que du roi ce qui apporte un peu plus de caché à sa réputation de nation sauvage.
Wales est aussi quelqu'un d'extrêmement superstitieux, comme la plupart des pays celtes d'ailleurs, les fées, les Ceffyl Dwr, les pùka, les druides et les sorcières, qui étaient surement plus aimé que dans tous les autres pays; tout ça fait un peu parti de lui et Pays de Galles ne veut en aucun cas rejeter ses petits amis imaginaires bien qu'il ait souvent du mal à les assumer! ,

Alwin peut surement paraître froid au premier abord, effectivement il n'est pas du genre à aller vers les autres et n'a pas une conversation très riche, mais si vous tentez de baragouiner quelques mots en gallois vous vous attirerez surement très vite sa sympathie!

On dit aussi que les Gallois sont de meilleurs amants que les Anglais, mais je ne m'étendrais pas plus sur ce sujet....

(*) équipe de rugby galloise
♠♥ PHYSIQUE:
Wales n'est pas quelqu'un de très remarquable, il se font dans la foule. Il n'a pas les extravagants sourcils de son homonyme Anglais, -bien que les siens soient pas mal épais- pas de chevelure dorée ou rousse, non, rien de cela juste une épaisse tignasse châtain, tirant sur l'acajou. Quelques mèches foncées, vriées par l'humidité, fouettent le fronts de la nation, cachant partiellement son visage. C'est une marée de noeuds cette crinière, aussi épaisse que les forêts qui bordent le pays!
Pour ajouter à ce physique anodin il y a cette peau pâle que tout bon gallois qui se respecte arbore, on ne peut pas se venter d'avoir un peau basanée avec un tell temps et Alwin veut bien le reconnaître volontiers, il n'est pas le premier à ce jeter sous le soleil lorsqu'il y en a préférant le nettement plus le calme et la sérénité que lui apporte les temps orageux. Venant cependant dénoté avec la couleur pâle de sa face, deux ovales sombres, tirant à peine sur le vert, scrutent attentivement l'horizon, ces deux petites perles nacrées, semblables à deux collines, sont protégé par les joncs protecteurs de ces cils.
Les lèvres, deux morceaux de chaire finement taillés, se fondent presque tout à fait à la couleur de la peau, seule une légère pointe de sang ravive l'éclat de cette bouche souvent plissé en une moue neutre et posée.
Seul, dans cette masse de banal qu'est Wales, sa taille et sa carrure dénotent de l'ensemble commun. Plutôt grand, dans les un mètre quatre vingt-cinq, et assez large d'épaules, sans pour autant ressembler à ces fous d'écossais qui soulèvent des tronc pour leur bon plaisir! On devine la force de l'individu par son physique. Les mains elles, sont celles d'un travailleur, épaisses et fortes, on devine un lointain travail agricole, car après tout Le pays de Galle est une terre fermière.
Bienvenu au pays de Galles, nation des dragons!


Mais qu'en est-il du style vestimentaire de notre cher Pays de Galles? Et bien il est comme tout le monde ici, habillé chaudement, souvent apprête de gros pulls. N'oublions pas ça manie de porter du rouge non plus, c'est simple il y a toujours du pourpre quelque part, surement cela est-ce du à l'étendard tout de sang fait de Wales!
Sinon en temps normal, le brun se contente de porter son uniforme militaire qui se compose d'une veste et d'un pantalon à pince tirant vers le marron, une chemise blanche un peu débraillée, avec une cravate grise elle aussi portée de façon peu formel. La taille est étriqué dans une ceinture blanche à laquelle est accroché une écharpe militaire pourpre, ajoutez à cela un képi sombre vissé sur la tête que la nation s'entête à ne pas mettre, et vous avez la tenue militaire traditionnelle du Pays de Galles! Mais le dragon rouge cache aussi quelques tenues de cérémonies qui ne revêt que très rarement pour des événements importants.


♠♥ HISTOIRE:
Aussi loin que je m'en rappelle j'ai toujours existé, je ne sais pas quand, ni comment j'ai pris conscience que j'étais là, mais un jour je me suis réveillé et aussi petit que je fus j'existais. Un grand pays parsemé de collines, à perte de vue des champs! Plein de champs! Et un peu plus loin s'étend l'océan voila qui je suis. Il y avait bien des habitants sur ce petit morceau de terre, à vrai dire je pense qu'il y en a toujours eu. A cette époque je n'étais encore qu'un petit pays inféodé, divisé en plusieurs principautés, six pour être exactes! Il y avait le Gwynedd, le Deheubarth, le Brychieniog, le Gwent, le Morgannwg et enfin le Powys, sur cette dernière terre un grand mur était dressé, on a souvent dit que c'était pour nous protégé, je n'avais jamais été vraiment inquiété par ce qui se trouvait derrière ce mur, je ne me rappelait plus, j'étais encore trop jeune à cette époque surement.
A vrai dire l'époque féodale n'était pas de tout repos pour moi! Les normands avait envahi une de mes régions, j'étais partagé en plusieurs morceaux et ce n'était pas facile de vivre avec tous ces affrontements, moi qui n'aspirais qu'à la paix de mes habitants! Aucun seigneur ne semblait se mettre d'accord sur quoi que ce soit, les uns s'opposant sans cesse aux autres, c'était triste, vraiment triste ! De plus, l'un de ces seigneurs, Llewyn « le Grand » était sur son lit de mort, ce qui attirait les convoitises sur le Gwynedd, mais chaque malheur à du bon, et la mort de cet homme nous m'apporta un souverain : Llywelyn ap Gruffyd ! C'était quelqu'un de vraiment bon! Un homme Louable dont l'ambition égalait sa bravoure! Il tua frères et oncles pour récupérer les terre de son père dans le but d'unifier le Pays de Galles, j'allais de nouveau vivre sous un seul étendard, oublier les affrontement, Llywelyn allait me sauver! Llywelyn « le roi de Galles » voilà comment il se plaisait à s'appeler, et c'était un titre, qui je dois bien l'avouer, me rendait tout heureux, j'allais pouvoir, comme tous mes autres frères et sœurs jouir d'un souverain. Et grâce à l'aide de Simon(*) Llywelyn put réaliser ses ambitions. Et voilà que, comble du bonheur, le souverain voisin, celui qui se cachait derrière le mur de Powys, acceptait mon roi, je ne pouvais être décemment plus heureux.
Je grandissait alors que le pouvoir de mon roi augmentait, il n'était certes pas aimé de tous, comme chaque souverain, mais il avait plus de pouvoir que quiconque sur le territoire, j'allais même bientôt avoir une reine, Eleanor la fille de Simon, une femme charmante! Et qui disait reine, disait aussi descendance, mon avenir était tout assuré.
C'était sans compter la mort de Henri III, le souverain du pays voisin, qui avait jusqu'ici supporter mon roi, et son fils Edouard n'avait pas le même tempérament...Plus cruel, plus fourbe aussi, le bonhomme ne tarda pas à montrer de quoi il était capable!
A vrai dire, Llywelyn avait beau être le meilleur de roi, l'annonce de cette futur épouse lui faisait totalement oublier ses ennemis et ce n'était pas faute de le raisonner...Mais Edouard lui rappela bien vite sa présence, en effet, ce n'était pas à lui qu'il allait s'attaquer mais à Eleanor ma futur reine, ce rat l'avait enfermé et exigeait à présent quelques concessions de la part de mon roi, un retour aux principautés, pas de royaume. Digne d'une histoire de conte de fée, le dragon, le chevalier, la princesse, hein ?...
Concessions que mon souverain du bien accepter, c'était le début des ennuis, au fond de moi quelque chose clochait, comment pouvait-on me soumettre? Et surtout pourquoi? Je n'avais rien demandé au pays voisin! Mais j'oubliais bien vite ces pensées à la vue du mariage royal. Il fut bel et bien célébré, il n'était peut être pas aussi pompeux que les mariages princiers que l'on peut voir maintenant, mais c'était largement suffisant pour moi, Llywelyn était le plus aimant des mari, hé, oui, on peut dire que tout ce passait bien à cette époque, c'était le bon vieux temps! Mais quatre ans plus tard ce n'était plus la même chanson...

Llywelyn était maintenant père, d'une seule et unique fille, et pour cause, Eleanor était morte en couche. Jamais je n'avais vu mon souverain si bas, et il faut dire que je partageais sa souffrance, n'est-ce pas la l'essence même d'un pays? Partager les souffrance de celui qui nous gouverne? Cette mort soudaine eu un impact violent sur mon souverain. Pourquoi...Pourquoi maintenant, alors que je commençait tout juste à devenir une grande nation ?..
Llywelyn n'était plus le même et cela n'arrangeait en rien le conflit qui se tramait. A la suite de son frère Daffid, il partit soutenir la révolte mais n'eut pas le temps d'arriver à bon port, il mourut dans une embuscade. Mon bon souverain était mort et ma joie en tant que nation indépendante aussi .
Daffid tenta bien de reprendre le pouvoir, mais ce fut vain, l'Angleterre le traita avec toute la dignité d'un « traitre à la nation », comprenez par là qu'il fut pendu sans que mort sans suive, éventré éviscéré et émasculé vif, avant d'être décapité et démembré. Plus aucun espoir de descendance non plus, la fille de Llywelyn et de Daffyd furent envoyées dans un couvent, les fils de se dernier furent tués. Je venais de descendre des hauteurs que j'avais atteint; plutôt brutalement. Comble du déshonneur, Edouard dépouilla le Gwynedd et installa sa cours, ses chiens, dans mes châteaux. Edouard nomma son fils prince de galles, tsss' comme si ! Non je ne porte pas dans mon cœur la patrie qui prit mon contrôle, quoi de plus normal!
Je fus fédéré pendant plusieurs années par des Lords, la couronne anglaise n'avait, a vrai dire, qu'un rôle second dans ma direction, mais revenant encore une fois sur sa parole, l'Angleterre se mit au premier plan de mon administration, imposant la « common law », plus de langue galloise dans les document officiel, l'essence même de mon histoire est balayé, le parlement anglais vote pour mes habitant en plus de cela! Et en plus de ça on se permet de me découper en comtés? Laissez moi rire ! Je reste tout de même une nation fier et proche de sa culture! La preuve, je suis un des rare pays à conserver la langue celte!

(*) Simon de Montfort, ennemi de la couronne Anglaise

♠♥ TEST RP:


Décidément cette idée de « grande réunion » n'enchantait pas Wales, non pas que le sujet l'inquiétait, bien que franchement, la laïcité ne faisait pas parti de ces priorités, c'était plutôt la compagnie qu'il allait avoir qui l'effrayait. Et qui n'aurait pas tremblé à l'idée d'être enfermé dans une salle avec ce pervers de France, cet excité d'Amérique et puis il y avait aussi son petit frère Angleterre qu'il méprisait, sans parlé de Feliciano, l'italien qui était toujours à coté de la plaque. Cette réunion lui semblait déjà mal partie alors qu'elle n'avait pas même commencé.
Ne prenant même pas la peine d'arranger son uniforme, Pays de Galles, se dirigeait maintenant d'un pas sûr mais bien peu enjoué, vers la salle de réunion, son képi sous le bras. N'y avait-il donc pas des choses plus importantes à faire que de ce réunir alors que l'on savait pertinemment que ce regroupement ne sortirait rien de bon? Et puis quelle idée de l'enfermer dans la même pièce qu'Angleterre, il lui ferait avaler sa coiffe à celui la si il le chatouillait trop!
Les claquements des bottes retentissaient contre le sol, leurs échos venant frapper les mur de cet étroit couloir austère, un doute s'empara alors de Wales, stoppant par la même occasion le bruit. Fallait-il vraiment y aller? On ne pouvait pas le laisser tranquille? Et qui remarquerait son absence à lui hn? Il n'était qu'une pâle conquête de l'Angleterre. A ce nom le brun se crispa, c'est vrai qu'il y étais lui et il ne tardera pas à casser du sucre sur son dos en constatant son absence. Ragaillardi par l'idée de couper les futurs et hypothétiques moqueries de l'anglais Alwin se remit en route.
Persuadé d'être le dernier arrivé, imaginez sa surprise lorsqu'il entendit des bruit de talon martyrisé le sol derrière lui ? Geste instinctif, Pays de galles se retourna alors, et ce qu'il vu fit pulser une veine sur son front! Par Saint-David! C'était lui, une tignasse blonde des sourcils aussi gras que l'herbe à vache qui poussait sur ses terres, pour sûr c'était Angleterre...Lui qui le pensait un peu plus ponctuel que ça. Un bref regard s'échangea entre les deux hommes, et il en disait long, on pouvait presque voir de la foudre fondre sur chacun d'eux! Sans perdre plus de temps, les deux britanniques accélérèrent la marche se jetant rapidement sur la poignée de la porte, on assisté à une sorte de course métaphorique entre les deux pays, celui qui attraperait la poignet en premier étant surement le plus fort des deux ?....Ridicule il faut bien l'avouer.
Le brun fit alors sa drôle d'entrée dans la pièce en compagnie de blond, l'un et l'autre se pressant contre les coins de la porte, Wales voulant à tout pris passer devant son cadet et Angleterre voulant à tout prix passer avant son aîné et tout cela sous les regards peu intéressées des autres participants de la réunion. Finalement tout deux prirent un siège et Pays de Galles se retrouvait maintenant encerclé, prit entre Angleterre et France et tout à fait en face d'Alfred...

-Héla Héla! Ecoutez tout le monde! Vous devriez tous prendre exemple sur ma laïcité car je suis le Héro après tout!
-Mon cher ami, la laïcité était une idée Française!

Il n'en fallait pas plus pour commencer à hausser le ton, seul dans la salle Italie du Nord, affalé sur sa chaise, semblait imperturbable, mais déjà, les éclats de voix, mettaient à rude épreuve les nerfs de notre gallois. Qui, voyant que le sujet commençait à s'écarter, pour laisser place à des insultes telles que « sac à vin », « rosbif » ou encore « bouffeur d'Hamburger », - Il faut dire que Pays de Galles était un peu à bout aussi.- Frappa allègrement la table de ces poings.

-HUSH CHI! (= Taisez vous!)

Tous se retournèrent interloqués, plus surpris par la langue usitée que par l'excès de colère soudain du brun. Le silence semblait à présent régner dans la salle, Feliciano s'était même reveillé.

-Le sujet messieurs le sujet !! répondit Wales à ses camarades estomaqués.
-Je propose que chaque pays se réunissent sous une seule religion... LA RELIGION ANGLICANE! Renchérit le Arthur
-Et pourquoi pas le catholicisme hn? Dit l'autre blond

Et c'était reparti pour un tour! Et bien que Wales fut assez d'accord quand à cette histoire de religion anglicane, il ne pouvait plus supporter le comportement puéril des autres nations! Sérieusement, Pays de Galles aurait dut juste faire demi-tour quand il en avait encore le temps, il était impossible de communiquer avec ses singes!
Le brun avait abandonné tout idée de pacification de ces trois là, se vissant, plus que froissé, au fond de sa chaise.
Mais alors que chacun pensait le débat perdu, une petite voix, à moitié endormie, s'éleva dans le brouhaha de la pièce.

-Tout dépend de son usage....

Tous relevèrent alors la tête, intrigués par la provenance de ce son, Wales pensa à un pùka avant de réprimer cette stupide pensée, les pùka n'avait pas d'avis sur la laïcité voyons!

-Monsieur france, vous avez eu vos raisons pour instorer la Laïcité?... Ce à quoi le grand blond acquiesça
-Pareil pour vous Amérique. Alfred suivit le geste de Franc
-Et vous Angleterre et Pays de Galles vous aimez votre religion?...Un peu timides les britanniques acquiecèrent.

Puis la voix disparu, Wales posa un instant ses yeux sur Italie endormir, noon....ça ne pouvait pas être lui ?...Si?
Le brun se redressa alors, raclant sa gorge avant de prendre la parole.

-Je vois ce que italie veut dire! Il ne sert à rien de discuter sur ce sujet futile un instant de plus! Chacun à ses raisons d'adhérer, oui ou non, à la Laïcité! Ce n'est pas le principe en lui même qui est dangereux ou non, c'est la façon de l'utiliser! Les gallois aiment leur religions alors je ne vois pas pourquoi je devrais être laïque, il l'aiment autant que les français aiment cette idée de laïcité!

Dans un silence gênant le brun se rassit, les trois acolyte se regardèrent...Fier de sa petite tirade, Pays de galles croisa les bras sur sa poitrine bombée, tout glorieux qu'il était, mais les acquiescement qu'il attendait se transformèrent en des rire moqueurs, le brun ouvrit de grand yeux.

-Ah la la, quelle vision romantique de la politique! Ricana France.
-Tout le monde devrait faire comme le Héro!!!
-TAIS TOI AMERIQUE!!

Et c'était reparti...

♠♥ AIME: Wales apprécie particulièrement chanter des musique patriotique, parler le Galois est quelques chose de très important pour lui. Les poireau aussi, oui il les aimes...pourquoi ? Tout simplement car le poireau représente St-David! Le patron du pays, pourquoi ? Euh..C'est uns ombre histoire de poireau sur des chapeau pour se distinguer de l'ennemi....Alwin apprécie donc toutes les collations contenant cet aliment. Le Bara-Brit est sa pâtisserie préférée, un pain au baie typiquement gallois!
Et bien qu'il ne veule pas l'avouer Wales adore toutes les petites créatures fantastiques qui parcourent ses terres

♠♥ N'AIME PAS: Angleterre, il a toujours du mal avec lui, plus particulièrement la couronne, et bien qu'il tente de mettre les conflits de coté il ne peut pas s'empêcher d'en vouloir à arthur! Il y a bien Cornouialles aussi, au même rend qu'Arthur!
Les affrontements, il les détestent aussi bien que cela fasse parti du « quotidient » d'une nation. Wales ne supporte pas qu'on lui donne des ordre ou qu'on le sous-estimé, un complexe d'infériorité peut-être?


♠♥ AVATAR: Lockon Stratos -gundam 00

♠♥ AVOIR UN GRAND FRERE?: [X ]OUI [ ]NON
♠♥ TEINTE SOUHAITÉE: ce gris là, si c'est possible bien-sûr!#2B3F3C

♠♥ ET AUTRES: