They said we'll melt, but we didn't listen to them. [PV Pôle Nord & Autres pays bienvenus.]

Invité

Malheureusement, la solution que j'avais proposée ne semblait pas encourager mes camarades d'infortunes. J'étais bien une des rares personnes qui pourraient supporter, du moins quelques temps, des températures excessivement basse... Malheureusement, vivre en nomade était quasiment impossible, car ces poussées de froid ne cesseraient jamais de grimper dans le sens inverse. En d'autres termes, tôt ou tard, le monde sera frigorifié tôt ou tard, du moins c'est ce que je pense. Mais encore une chose me chagrine... Notamment les prouesses de locutions de Islande qui semble plus effrayé qu'autre chose, très compréhensible en fait. Antarctique semblait moins s'inquiéter, faut dire qu’il n’a pas le souci de la populace et cela lui permet de réfléchir de manière raisonnée. Mais ses propos tiennent la route, il n'y a pas à se leurrer. Je tentais de réfléchir, je tournais mon regard vers mes animaux qui étaient un peu plus loin, voulant plus trop se mêler aux discussions des hommes. Pour eux, il faut que je trouve une solution... On a perdu nos calottes glaciaires, maintenant un froid extrême allait nous abattre. Je me posais par contre une question... Combien de temps cela pouvait durer, car, le monde est fait ainsi, après une période de froid, une période de chaud. Cela a été ainsi à la période préhistorique et ensuite l'ère glaciaire est arrivée. Ensuite les chaleurs étaient revenues. Je portais mon regard sur antarctiques, après que Islande aie terminé sa tirade d'offusqué.

"Tu penses que cette période de froid va durer combien de temps ? Car, comme le souligne Islande, si cela dure durant environ cent voir deux cents ans... Cela serait jouable, non ?"

Plusieurs solutions étaient envisageables, plusieurs possibilités pouvaient offrir une solution temporaire ou définitive, tellement de questions... Mais si peu de temps, je réfléchissais encore, tentant de trouver des conclusions. J'avais réellement le souhait que tout le monde soit sauf, contrairement à ma pensée précédente. Fallait que je grandisse un peu et devienne un homme aussi, voir plus, intelligent que ma mère. Malheureusement, un long chemin m'attendait encore. Il est clair, pas tout le monde ne pourra être sauvé, des sacrifices devaient être fait, que ce soit animal ou humain. Je croisais les bras, les regardant. Mon estomac se mettait à gargouiller. J'avais la dalle et cela détruisait le sérieux de la discussion, on pouvait aussi tenter de préparer des provisions avant que ce jour fatidique n'arrive avant de penser à une solution... Car à réfléchir, cela pouvait être trop tard par la suite. Je pensais le souligner, car tout ceci c'est bien beau, nous quatre en train de chercher la solution au sauvetage humain et animal, mais si on agit pas maintenant, il sera sans doute trop tard.

"Euh... On a beau discuter, on ne trouvera jamais de solution si on ne commence pas du moins à avertir les autres peuples ? Qu'ils préparent des propositions et des établissements de soutiens, les provisions et tout ça. Les solutions on peut les trouver dès que la sonnette d'alarme est sonnée ? Car... On va se disputer sans cesse sur la bonne ou mauvaise solution ici. Vous, les pays civilisé, vous avez pas un congrée pour que tout le monde puisse en parler Islande ?"

Évidemment, je savais très bien que certains seraient impossible à contacter, sans doute déjà trop tard ou bien autre chose. Certains voudraient sans doute pas aider à ce redressement pour assurer la survie du monde, mais qu'importe, il fallait rallier le maximum de personne et seul un grand congré pourrait résoudre cette solution. Du moins, c'est ce que je pensais. Je sais qu'évidemment, personne ne m’y inviterait et que je devrais me débrouiller seul, je suis une espèce de micro-nation pour eux et penseront sans doute que mon avis sera inutile. Mais bon, si à terme cela pourrait sauver mes petits animaux, je suis prêt à cela. Je m'accroupissais finalement, je me sentais fatigué, mais j'avais faim surtout. Un petit sourire se dessinait sur mon visage. Je voulais leur proposer le gîte du moins le temps qu'ils repartent.

"Si vous voulez... Allons en parler dans mon igloo. Si cela vous tente bien sûr... Pour ma part, je pense que nous avons besoin de repos et de se calmer... Paniquer ne résoudra rien."

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