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 || Un bûcheron est maître dans sa maison!

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Québec

Québec


|| Un bûcheron est maître dans sa maison! Vide
MessageSujet: || Un bûcheron est maître dans sa maison!   || Un bûcheron est maître dans sa maison! Icon_minitimeVen 24 Aoû - 3:12

Et j'arrive! Fais place, Invité!

L'Histoire est une suite de mensonges sur lesquels on est d'accord.[Napoléon Bonaparte]


"Il y a des moi plus moi que d'autres."
Paul Valéry

Ils sont innombrables ceux qui me ressemblent, et moi, cependant, je demeure unique.
Vasyl Symonenko

    ♠♥ NOM HUMAIN: Marcel Roy
    ♠♥ NATION REPRESENTEE: Québec
    ♠♥ SEXE: Masculin
    ♠♥ FAMILLE: Canada, France, États-Unis, Angleterre
    ♠♥ LIEU D'HABITATION: Daisy Town
    ♠♥ RANG PERSONNALISE:




♠♥ CARACTERE:

Marcel est un homme qui a de drôle de manière. En effet les circonstances et conditions de vie particulières des bûcherons – dur labeur, risques d’accident, inquiétude financière et la promiscuité – ont créent chez Marcel un fort caractère qui se manifeste par une culture de la masculinité, dans le sens où si tu es un homme, tu dois agir comme tel; tu ne pleures pas, tu te défends toi-même, tu dois être fort, tu dois être dominant, soit galant avec tes amours potentiels, etc. C'est cette vieille personnalité qu'il fait de lui un homme unique en soi. Il a une grande indépendance d'esprit, il ne jure que par son opinion et est très têtu. Il se battra jusqu'au bout pour une opinion ou une cause en laquelle il croit, il n'abandonne jamais tant qu'on n'arrive pas lui prouver qu'il a tort. En plus d'être une tête de mule, Marcel a toujours une bonne raison de se plaindre de quelque chose; la politique, le trafic, les routes, la neige, le froid, le sirop d'érable américain...Il trouve toujours un caillou dans sa chaussure sur lequel il peut se plaindre pendant plusieurs heures d'affiler quand il est de mauvais poil. Il un homme très direct, il ne tourne pas autour du pot et dit se qu'il pense crûment et sans prologue, ce qui peu sembler à une attaque verbale, surtout qu'il a un langage pour du moins blasphématoire. Marcel a pris la mauvaise habitude de juré comme un Diable, surtout lorsqu'il est frustré ou très heureux. En plus de sa façon de parler, il a des manières physiques très rudes; le coup de poing sur l'épaule et la tape dans le dos en font partie. Il peut aussi s’avérer à être violent, il n’hésite pas à frapper, quand on le cherche, on le trouve et il n'y a rien de mieux qu'une bonne bagarre pour évacuer sa rage. Une fois que la guerre est commencée, on ne l’arrête pas aussi vite qu’on le voudrait. Marcel arrête de frapper soit quand quelqu’un s’interpose soit il arrêtera par lui-même quand il aura évacué sa frustration. Quand il le veut, il peut être un vrai charmeur et un gentleman exemplaire, la séduction pour lui est une passe temps comme un autre. Il ne peut résister à l'envie de draguer.

Malgré son attitude, Marcel n'a pas que des défauts, bien au contraire, il a plusieurs qualités, dont certaines qui son bien caché derrière la rudesse de ses manières où son côté dragueur. Même s'il peut être brusque, il est un homme sympathique et souriant, il ne cherche pas les ennuis là où il n'y en a pas. Il aime rire et faire des blagues, sa forme d'humour favorite est le sarcasme, qu'il emploie aussi souvent qu'en humour que lorsque fâcher. Il peut faire preuve d'un grand romantisme; dîner aux chandelles, sortie en couple, pique-nique romantique, cadeaux, fleurs et chocolats. Il n'hésite pas à y mettre la totale. On est amoureux où on ne l'est pas. Marcel adore les enfants et peu faire un très bon baby-sitter. Il aime s'occuper des bébés, jouer aux voitures ou à la Barbie avec les bambins, il trouve toujours un moyen de les amuser et de faire en sorte qu'il vont au lit à l'heure prévue. Il voudrait pouvoir avoir une famille un jour où l'autre, même s'il sait très bien que c'est probablement impossible. Il est un homme fidèle et loyal, autant en amitié qu'en amour. Il fait probablement partie des personnes que l'on veut comme ami; il sait garder un secret et essai de remonté le moral du mieux qu'il peu – même si ça peut comprendre de boire comme un bien heureux. La pire chose qu’on peut lui faire est de briser sa confiance. Le jeune homme ne pardonnera jamais à quiconque brisera sa confiance sans remords ni culpabilité.

♠♥ PHYSIQUE:
Marcel est un homme au teint rose pâle qui prend facilement des couleurs. Ses cheveux bruns et raides sont souvent en batailles, mais toujours doux comme du poil de lapin, peu importe l'état dans lequel ils sont et ont toujours l'air d'avoir un reflet blond sous le soleil d'été. Plus bas se trouvent ses sourcils, puis ses yeux. Des yeux d'un bleu puissant dans lesquels résident toutes ses émotions, des yeux profonds comme le lac St-Jean, qui s'illuminent dans le rire et noircissent dans la luxure, des yeux aussi expressifs que sa voix. Par la suite, il y a son nez, puis ses lèvres, qui peuvent autant formé un sourire magnifique qu'une grimace de colère, qui peuvent laisser des baisers inoubliables et qui ont laissé échapper autant de méchanceté que de tendresse, ainsi que sa voix. Une voix à nombreuse tonalité, parfois très forte, d'autre fois douce comme le velours, et un rire tonitruant qui ne laisse personne indifférent. Puis, il y sa mâchoire, son menton sur lequel trône régulièrement une barbe dîtes « de 3 jours » et son cou, autour duquel pend une une chaîne sertie d'une croix dorée, un cadeau d'il y a longtemps qui est toujours resté avec lui, peu importe l'année ou le style, même lorsqu'il joue au hockey, elle est là. Toujours en descendant, il y a les bras et le torse, assez musclé, d'où il tire sa force qui se démarque dans ses manières et sa poigne de main ferme et un poing d'acier. Pour finir, il y a ses jambes, à forte pilosité et tout aussi fortes que ses bras, ce qui lui permet de patiner rapidement sur la glace lors de match de hockey. Cet homme n'a qu'une cicatrice dans son dos, c'est une brûlure profonde qu'il s'est fait quand le feu à pris à ses vêtement alors qu'il était coincer dans un indendit.

Marcel est une créature de confort et de style quand on en vient aux vêtements. Pour lui, rien ne vaut un tee-shirt de la marque populaire du moment où son incontournable chemise à carreaux, son hoodies bleu favoris, une belle paire de jeans confortable et des baskets. Il ne portera un veston et une cravate que lorsqu'il y est obligé, pour des rendez-vous ou la st-valentin par exemple. Lorsqu'il est bien habillé et bien coiffer, on voit que, malgré ce qu'on pourrait croire la première fois qu'on le rencontre, cet homme sait s'habiller avec style et élégance lorsque vient le temps d'être plus que présentable; chemise bien repasser, cravate, veston propre, pantalon allant avec le veston et soulier de cuir sont tous présents. L'hiver, il porte un manteau de snowboard, avec de grosses bottes, une tuque et des mitaines pour se garder bien au chaud. Lorsqu'il est de sortie, comme à Noël par exemple, il met un manteau long, bleu marine, des bottes en cuir noir, des gants de cuir doublé en mouton et un béret de la même couleur que son manteau. Ça le protège beaucoup moins du froid, mais c'est beaucoup plus stylé et présentable lorsque l'on va à une soir. Pour ce qui est de la nudité, Marcel est quelqu'un qui se sent bien dans son corps, mais pas au point de vouloir se montrer. Il n'a cependant aucun mal à se présenter en maillot de bain en public où à se laver dans les douches des vestiaires avec ses coéquipiers. Lorsque vient le temps de se déshabiller, il est le premier à le faire, sans aucune gêne.

♠♥ HISTOIRE:

Première Partie : Nouvelle-France (1534 - 1763)
Acte I : Bonjour? (1534 - 1612)

Au début, les terres d’Amérique n’étaient alors peuplées par les premières nations, qui y vivaient depuis des générations, ces peuples vivaient en paix pour la plupart et était nomade, c’est-à-dire sans habitat fixe. Québec, qui à cette époque s’appelait Stadaconé et qui s’était fait donner pour prénom Maska par les tribus qu’il fréquentait, se déplaçait souvent de tribu en tribu et de ce fait, il rencontra Jacques Cartier lors de son premier voyage ou il s’était rendu à Gaspé. Maska était resté caché derrière Donnacona, un chef Iroquois du Saint-Laurent. Le petit était très méfiant des nouveaux arrivant, surtout du grand blond qui accompagnait Cartier, qui semblait toujours le regarder du coin de l’œil. À la seconde visite de Cartier l’année d’après, celui-ci passa l’hiver à Stadaconé, Maska n’était pas rassuré pour autant, apparemment, le grand blond de l’année précédente se semblait être revenu avec lui, mais cette fois il était accompagné d’un petit garçon. Maska resta le plus loin possible des étrangers en qui il avait plus ou moins confiance. Bien sûr, il fut forcé de les croiser et de les voir de temps en temps, mais il essayait d’éviter de plus possibles les contacts. Au bout de quelque mois d’hiver, le petit commença à s’ennuyer. L’hiver était froid et il ne sortait pas souvent de la maison longue dans laquelle il vivait. Les adultes étaient très occupés. Un jour qu’il s’ennuyait trop, il décida d’aller explorer l’habitation des étrangers, curieux de voir ce qui s’y passait. Il entra subtilement dans l’habitation et commença à observer furtivement les étrangers. Ils n’avaient pas l’air méchant, même qu’il avait l’air très convivial entre eux. Alors qu’il les observait, quelqu’un lui tapota sur l’épaule, Stadaconé se retourna et se retrouva face à face avec le grand blond accompagner du petit garçon qui semblait le suivre partout. Le blond lui sourit en lui tendant la main, il ne dit qu’un mot.

« Bonjour »

Le petit hésita un peu, puis sourit à son tour en prenant la main de l’étranger qui se présenta à lui sous le nom de France et le petit sous le nom de Canada. Lui-même se présenta sous le nom de Stadaconé. Le petit brun s’entendant très bien avec les deux blonds, il se lia très vite d’amitié avec eux et passa l’hiver à aller et venir chez l’un et chez l’autre. Puis, au printemps, Stadaconé voyagea avec les étrangers jusqu’à Hochelaga et les suivit en Europe. Lors de son séjour, il apprit le français entre deux gaffes et adopta France comme étant son père et Canada son frère, quand à lui, il se fit renommer Qvebecq, nom qui changea d’orthographe plusieurs fois, et qui était beaucoup plus simple que Stadaconé. Son prénom fut changé pour quelque chose de beaucoup plus français que Maska, mais qui avait presque la même prononciation. Il portait donc le prénom de Marcel et avait appris celui de Francis, qu’il appelait Papa et de Matthew qu’il persiste à appeler Mathieu. De retour en Amérique, il regarda les premiers colons construire la première habitation permanente de l’inde occidental Françaises et la capitale de la Nouvelle-France.

Acte II : Quatre-vingt-dix-huit, quatre-vingt-dix-neuf, cent! (1612 - 1663)

Québec ne grandissant pas très vite et son économie étant encore surtout basé sur le commerce de fourrure de castor qui servait à fabriquer des chapeaux de feutre qui était en vogue en France à cette époque, un homme nommé cardinal Richelieu créa donc la compagnie des cents associer qui permit l’instauration d’un régime seigneurial et qui introduisit en même temps la Coutume de Paris. Par la suite, le gouvernement passa aux mains de l’un et de l’autre avant de revenir au roi Louis XIII. Pas longtemps après, un dénommé Laviolette établissait un gouvernement des Trois-Rivières, à la rivière St-Maurice. Paul de Chomedey suivit son exemple et créa le gouvernement de Montréal, alors nommé Ville-Marie. Ville-Marie étant une île, elle devait servir de barrière naturelle pendant les guerres franco-iroquoises. Marcel étant encore trop jeune et surtout trop petit pour prendre les armes, il se contentait d’attendre sagement le retour de Papa Francis avec grand frère Matthew. C’est à la fin ce ces guerres que les nouveaux héros de la Nouvelle-France son né : Dollard-des-Ormeaux, Madeleine de Verchères et les martyrs canadiens. À la suite de tout ça, il eut une forte immigration en Nouvelle-France ce qui permit aux petits frères canadiens de grandir un peu. Content de pouvoir aider aux travaux manuels, Marcel se fit une joie d’aider les nouveaux arrivant à s’établir et alors que Louis XIV envoyait ses filles du roi en Nouvelle-France, Marcel prenait un malin plaisir à venir les regarder dans toute leur beauté, descendre sur la terre ferme avec élégance et surtout espionner comment son père les courtisait. Avec la nouvelle arriver des Filles du roi, il eu beaucoup de nuptialité et par la suite, beaucoup de natalité, ce qui donna une bonne pousser de croissance aux deux frères qui en avait bien besoin. Maintenant qu’il n’avait plus l’air d’un enfant de 8 ans, Marcel s’amusait à essayer d’imiter son père et de courtiser les jolies femmes qui mettaient pour la première fois le pied en Amérique… Ses efforts ne se montrèrent pas très fructueux, mais il recevait quand même des encouragements de la part de son Papa, qui semblait fier de lui. C’était ce qu’il voulait au fond. Il voulait que son Papa soit fier de lui et le félicite. Comme tous les jeunes enfants d’ailleurs. Il était encore trop jeune et innocent pour comprendre les raisons de pourquoi Francis allait courtiser ces femmes. Comme il n’arrivait à rien, n’était définitivement pas aussi doué avec les femmes que son père et surtout très jeune aux yeux de celle-ci, il retourna faire ce qu’il faisait de mieux, c’est-à-dire jouer toute la journée et courir partout dans la maison. Il n’en avait peut-être plus l’air, mais il avait encore la mentalité d’un jeune enfant. Le régiment de Carignan-Salières développa la Vallée des Forts contre les invasions iroquoises et contribua au peuplement de la colonie, par l'arrivée de 1 200 hommes originaires du Dauphiné, de la Ligurie, du Piémont et de la Savoie. L’intendant Jean Talon organisa le premier recensement, dénombrant alors 3 215 habitants. Puis, la population de la colonie passa à 6 700 habitants en 1672, conséquemment aux politiques d’encouragement de la natalité et nuptialité.

Acte III : Jamais deux sans trois! (1663 - 1763)

En 1663, le secrétaire d'État à la Marine, Jean-Baptiste Colbert, fit instaurer le gouvernement royal du Conseil souverain, à l'instar du Conseil du roi de France. Ainsi, le territoire devait être administré comme une province française, c’est-à-dire par le gouverneur de la Nouvelle-France, assisté de l'évêque de Québec et de l'intendant. Le petit Québec était content d’être devenu l’égale des autres provinces françaises de l’époque. Il avait bien grandi aussi, le petit Québec. Il n’était toujours pas assez grand pour tenir une arme et aller au combat, mais il était assez grand pour cogner des clous, alors il aidait à bâtir des habitations pour s’occuper, étant devenu trop vieux pour le bac à sable. Quelques années plus tard, son territoire prenait de l’expansion grâce aux nouvelles conquêtes de l’armée française. Il était devenu assez grand pour tenir un fusil, mais France refusait de le laisser participer au combat. Alors il se contenta de la chasse. C’était un passe-temps comme un autre, et comme le gibier était en abondance, il était facile de revenir à la maison avec un orignal ou un cerf. Les quatre guerres intercoloniales furent les conséquences directes des conflits à la seconde Guerre de Cent Ans. Les Iroquois y perpétrèrent le massacre de Lachine et plus tard, le gouverneur Frontenac mena une série de raids contre la Nouvelle-Angleterre à la bataille de Québec. Puis à l’aube des années 1700, le gouverneur Callières conclut la grande paix de Montréal, où les Iroquois s'alliaient aux Algonquiens, Canadiens, Français et Hurons. Enfin, par suite des traités d’Utrecht conclus par le duc d'Orléans quelques années après, le Royaume de France céda trois colonies au Royaume de Grande-Bretagne : l’Acadie, la baie du Nord et Plaisance, mais conserva l'île Royale et l'île Saint-Jean. Marcel était triste de voir de ses amis partir pour aller vivre avec quelqu’un d’autre qu’il ne connaissait pas, et qu’il décida qu’il n’appréciait pas, de lui voler ses amis comme ça. Lorsque la Nouvelle-France atteignit son apogée, le territoire s’étendait jusqu’aux montagnes Rocheuse. Les tensions en Amérique du Nord prirent un tournant décisif lors de l'Affaire Jumonville, évènement déclencheur de la guerre de la Conquête. Plusieurs Acadiens se réfugièrent dans le Canada par suite du Grand Dérangement. L'année suivante, Louis-Joseph de Montcalm, lieutenant général des armées, arriva en Nouvelle-France avec trois mille hommes. Son homologue britannique, James Wolfe, débuta le siège de Québec à l'île d'Orléans. Puis, à son terme au 13 septembre de la même année, le lieutenant du roi conclut les Articles de capitulation de Québec après la défaite des troupes à la bataille des Plaines d'Abraham, bataille perdue en 23 minutes par la France. Marcel bouda Francis de ne pas l’avoir laissé aller au combat, en disant qu’il aurait peut-être pu changer l’issue de la bataille. La reddition de la Nouvelle-France annonçait l'isolement de la Louisiane française; la partie occidentale et le delta du fleuve Mississippi furent alors cédés secrètement à l'Espagne par le traité de Fontainebleau, en protection contre les invasions britanniques. Les îles de Saint-Pierre-et-Miquelon devinrent le seul vestige, de cette époque révolue, qui demeura sous tutelle française. Eh voilà, le sort était jeté, France du quitté le Canada, qui allait devenir une nouvelle colonie anglaise.

Deuxième partie : The british province of Quebec (1763 - 1867)
Acte I : A French British? (1763 - 1791)

Après trois ans de régime militaire, le roi Louis XV céda la Nouvelle-France au Royaume de Grande-Bretagne en échange de la Guadeloupe lors du traité de Paris en disant que Canada ne valait plus rien. Marcel était furieux. Très furieux même. Il en voulait à Francis de l’avoir laissé pour la Guadeloupe et était deux fois plus en rogne contre Angleterre d’avoir accepté le marché! Il n’allait pas laisser passer ça! Pour la peine, il décida de mener la vie dure au pauvre anglais, en commençant pas refuser d’apprendre sa langue et de devenir protestant. Sa détermination porta ses fruits, l’Acte de Québec fut signé, ce qui donnait officiellement le droit à Marcel de conserver la culture, les lois civiles et criminelles françaises. De plus, les limites territoriales englobaient désormais les terres de la Couronne du bassin versant des Grands Lacs jusqu'à la Terre de Rupert, et la vallée de l'Ohio, jusqu'au Territoire indien. Afin de conserver une colonie en Amérique, cette ordonnance venait ainsi réduire le mouvement indépendantiste des Canadiens, comme une forme de garantie, née de la révolte de Boston qui motiva la déclaration d'indépendance des États-Unis. Ce fut sa première victoire au travers d’une longue série de défaites. Quand les Américains essayèrent de rallier les Canadiens à leur cause, ceux-ci refusèrent l’offre et restèrent neutres pour la plupart, sauf les patriotes qui se joignirent à eux à la campagne de Saratoga. C’était tout pour bien énerver l’anglais, ça, puisqu’il n’appréciait pas vraiment plus les Treize Colonies à cette époque, mais il le trouvait déjà plus sympa avec lui qu’Arthur qui ne l’appréciait guère, au contraire de Matthew qui semblait le chouchou de celui-ci depuis qu’ils étaient en sa possession. C’était normal après tout, Matthew était calme et faisait tous s’qu’il lui disait quand il le comprenait, alors que Marcel refusait même de le voir ou de l’entendre. De plus, c’était ça façon à lui de prouver sa valeur, juste pour faire regretter son action à Francis, parce qu’il savait qu’il serait probablement mit au courant de ce qu’il faisait. Après tout, tout fini toujours par se savoir, déjà que son copain espagnol n’était pas loin au sud, il le saurait probablement dans le temps de le dire. Puis, en conséquence à la reconnaissance de l'indépendance des États-Unis en 1783, les loyalistes de l'Empire-Uni migrèrent vers la « Province of Quebec » et peuplèrent la péninsule du Niagara, ainsi que la région des Cantons de l'Est et des Milles-îles. Là il était mal foutu. Les É.-U. étaient maintenant indépendants, certes, mais lui il était coincé avec une immigration d’anglais maintenant! Il regrettait un peu d’avoir aidé l’Amerloque dans la première partie de son indépendance, parce que s’il avait perdu la guerre, les loyalistes ne seraient pas venues dans la province et seraient restées dans leurs Treize Colonies. Il était dans de beaux draps maintenant. Ça ne semblait pas trop déranger Matthew, mais lui ça se dérangeait beaucoup. Il avait peur pour son avenir. Il ne voulait pas se transformer graduellement en British… Il en avait des frissons dans le dos. Il était français et resterait français, un point c’est tout.

Acte II : Stupide tête carrée! (1791 - 1840)

Bien sûr, le malheur de la pauvre ex-colonie française ne s’en tiendrait pas là, non, ça ne faisait que commencer, au contraire. Insatisfaits des nombreux droits accordés aux Canadiens, les arrivants des treize colonies britanniques obtinrent gain de cause par l’Acte constitutionnel de 1791 qui divisait la Province de Québec en deux colonies distinctes depuis la rivière des Outaouais : le Haut-Canada à l'ouest et le Bas-Canada à l'est. C’est à partir de la division de son territoire en deux qu’apparu la personne que Marcel allait détester pour le restant de ses jours : Haut-Canada. Haut-Canada était purement anglais, composer pratiquement que de loyaliste des Treize Colonies, il était le nouveau favori d’Arthur, normal, il était anglais et en plus, détestait les français. Bien qu’il soit plus jeune que lui, il avait exactement les mêmes droits, sinon plus et bien sûr, obtenait tout ce qu’il voulait quand il le demandait. Heureusement, Matthew était là pour jouer à l’arbitre et contrôler les poussées de rage de son petit frère turbulent. Le seul avantage de vivre avec Haut-Canada était qu’ils allaient avoir une démocratie chacun de leur côté. Cependant, avec le Parlement du Bas-Canada, la société canadienne entendait désormais jouir d'un régime démocratique fondé sur les principes du système de Westminster. Mais les lacunes de l'Empire britannique furent très vite critiquées et contestées, dès 1791, par le parti canadien. En 1834, des membres patriotes présentèrent 92 résolutions à titre de programme politique et de revendications, qui exprimaient une véritable perte de confiance dans la monarchie britannique. Mais, en réponse aux 10 résolutions de Russell qui incarnaient le refus de Londres de les considérer, la fronde populaire s'intensifia dans les assemblées publiques de 1837 avec des tribuns tels que Louis-Joseph Papineau. La Rébellion des patriotes fut ensuite déclenchée, Marcel était furieux de se faire jouer de lui comme ça, alors il se fit une joie d’aller se battre, il ne demandait que ça de péter la gueule aux Anglais. Malheureusement, il perdit la bataille et se retourna vers le clergé pour apaiser son âme maintenant devenue violente à cause de mauvais traitement à long terme et de frustration accumuler qui changea sa personnalité pour toujours. À cause de l’arriver des Anglais, les Canadiens français avaient de la difficulté à se trouver du travail, parce que les Irlandais et Écossais venant s’installer chez lui prenaient toutes les terres disponibles, alors ceux incapables de trouver du travail partaient pour les États-Unis, ce phénomène fut nommé « La grande hémorragie » qui garda le québécois récalcitrant au lit pour quelque jour, mais celui-ci pris sa revanche grâce au grand taux de natalité qui fit en sorte que le nombre de francophones ne déclinât pas trop de son côté, ce fut la revanche des berceaux.

Acte III : L’union fait la force! (1840 - 1867)

Dans son rapport sur les affaires de l'Amérique du Nord britannique, Lord Durham recommanda qu’il fallût procéder à l’assimilation culturelle des Canadiens. Principale source de l'instabilité politique qui allait régner jusqu'en 1867, l’Acte d’Union de 1840 fusionna le Haut-Canada et le Bas-Canada en la Province du Canada et fit de l’anglais la seule langue officielle. Le Canada-Est, francophone et fort peuplé, et le Canada-Ouest, anglophone et peu peuplé, obtenaient alors un nombre identique de sièges à l’Assemblée législative de la province du Canada. Ce qui donc signifiait que Bas-Canada et Haut-Canada était marié. Aussi invraisemblable que ça puisse être, il ne faisait pas un si mauvais couple. Chacun faisait ce qu’il avait à faire de son côté et quelquefois ils se parlaient ou faisaient quelque chose ensemble. Ils avaient fini par voir qu’au fond il n’était pas si différent malgré leur langue, leur âge et leur culture, mais bien sûr, aucun ne disait à l’autre ce qu’il pensait vraiment, de peur d’avoir trop honte. Marcel s’était calmé, oui il n’était pas ravi des nouvelles lois et tout, mais maintenant qu’il était marié, il avait l’impression d’être une personne normale et non une nation et il avait moins l’impression de supporté tout le poids du monde. Il était bien comme ça et ça lui était égal tout ce qu’Arthur pouvait faire, parce qu’il avait sa propre maison et il était majeur en quelque sorte et puis l’autre anglais apprenait le français avec lui et lui apprenait l’anglais. Bien sûr, ça n’empêchait pas les pots de voler, mais c’était juste moins violent que ça aurait pu l’être. Mais dans la foulée de l'immigration en provenance du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande, le poids politique du Canada-Est fut rapidement remis en cause par les débats sur la « Rep by Pop », conséquence inéluctable de l'accroissement de la population britannique dans l'ouest de la province. La répartition des deux groupes culturels entre les parties du territoire allait toutefois rendre nécessaire la formation de gouvernements de coalition sous le régime de l'Union. C’est ce qui donna le signal au Canada qu’il était maintenant temps de devenir indépendant. Nouveau-Brunswick et Nouvelle-Écosse décidèrent de se joindre à eux pour former un dominion. Ce fut le début de la Confédération canadienne et de la proclamation de l’Acte de l’Amérique du Nord britannique par la reine Victoria. Ce nouveau système confédératif, dont la constitution fut fondée sur les mêmes principes que celle du Royaume-Uni, définit alors la répartition fondamentale des pouvoirs législatifs entre le Parlement confédéral et les assemblées provinciales. Donc toutes les provinces avaient le droit de faire comme elle l’entendait dans certaine mesure. Ce fut donc le divorce du Haut et Bas Canada. Haut-Canada devint donc Ontario et Bas-Canada retrouva son nom originel de Québec. Tout semblait aller de mieux en mieux à présent, et Marcel n’allait pas s’en plaindre, ça non!

Troisième partie : Aujourd’hui et demain (1950 - ????)
Acte final : Vérité ou conséquence?

La période de 1950 à 1970 fut relativement calme. C'était la deuxième grande période d'industrialisation. Les usines fleurissaient de partout. Il ne se rendait pas compte de l'invasion silencieuse qui avait lieu chez lui. Du moins pas pour le moment. Jusqu'aux années 70. Il avait fini par adopter un nouveau mode de vie; sexe, drogue et rock'n'roll étaient tous de la partie la cigarette en plus. Pourquoi avait-il commencé à fumé, il ne savait pas, ou plus, puis ce qu'avec tout l'alcool qu'il buvait et la drogue qu'il fumait, dur dur de se souvenir de sa première fois tellement ça lui parait loin maintenant. C'était très 'in' à l'époque, donc c'était probablement la cause de tout ça. Son mode de vie était terriblement crasseux. Son appartement était une vraie porcherie et une odeur de cigarette avait imprégné les meubles même s'il gardait les fenêtres ouvertes 24 heures sur 24 pour changer l'air, il était une vraie cheminée. Il était redevenu plus violent et brusque. Surtout au début du premier référendum en 1980. Ce comportement durera jusqu'en 1996, après le second référendum. À partir de 1996, il commença à se calmer. Réalisant qu'il n'était peut-être pas près à devenir une nation indépendante. Du moins pas selon la population. Il essaya d'arrêter de fumer, mais il ne réussit pas avant l'an 2000. Pendant ses quatre ans, il en avait profité pour revenir à un mode de vie plus saint. Il avait réussi lâché la drogue, avait déménager dans un condo dans un meilleur quartier et avait recommencer à faire du ménage régulièrement. Il s'était remis à la drague -ce qu'il n'avait jamais vraiment arrêté- et fumait de moins en moins. En 2008, Québec fêtait ses 400 ans d’existence, non pas en tant que province, mais en tant que ville. Ayant d’abord été une ville, il était devenu province, mais la ville n’avait point changé. Entament les festivités en janvier, elles ne se finiraient quand décembre prochain, l’année s’annonçait prometteuse pour Marcel. Recevant des cadeaux de toute part, autant de l’Europe que du reste du pays, il était content de voir qu’on ne l’avait pas oublié, son anniversaire allait être le plus grand événement de l’année, lui qui avait cru que personne ne s’en souviendrait, il en recevait plus qu’il en demandait, Céline Dion et Paul McCartney avaient même décidé de venir jouer sur les plaines d’Abraham! Fêtant à tout va, toujours partit quelque par, il avait oublier ses malheurs des années précédentes, plus contents que jamais, notre fêtard buvait comme un bienheureux et rentrait à des heures de fou, la plupart du temps complètement saoul. Le résonner s’avérait impossible, il était partie dans sa bulle où c’était party par-dessus party, ce qui pour lui, était d’un grand réconfort, l’hiver lui parut moins froid et l’été moins pluvieux, et Dieu sais qu’il avait plu cet été-là, mais l’on fini par le ramener à la réalité, une fois les festivités terminer. Puis 2009 arriva, cette année-là ne s’annonçait pas vraiment mieux que les autres.

♠♥ TEST RP:

C'était le lundi matin, il était tôt. Trop tôt. Marcel aurait bien voulu rester coucher et dormir jusqu'à midi comme il a l'habitude de le faire. Il avait reçu l'important – et très chiant — travail d'aller à une réunion sur la culture pour remplacer Matthew, qui avait autre chose de plus important à faire — pour ne pas dire qu'il avait oublié qu'il avait cette réunion. Son frère l'avait pris aux mots, il avait accepté et maintenant il regrettait de ne pas avoir refusé pour pouvoir passer son lundi au lit. Il avait pris une douche en vidant la moitié de l'eau chaude et enfilé chemise, veston et cravate avec force de vocifération et de grognement incompréhensible qui sonnait comme le langage primitif des hommes de Cro-Magnon. Il était par la suite descendu se faire à manger et était parti après avoir regardé la météo et lu son journal. Arrivé au point de réunion, il était tombé sur Finlande. Maintenant que Marcel avait eu droit à son café du matin en arrêtant dans un Tim Horton en chemin, il salua chaleureusement le Finlandais. Le québécois connaissait les pays nordiques parce que la plupart jouaient au hockey, et aussi parce qu'ils y étaient douer. Finlande était arrivée troisième au hockey masculin aux Jeux olympiques d'hiver de Vancouver en 2010, ce qui n'était pas rien pour quelqu'un qui respirait le hockey par les pores de peau comme Marcel. Alors qu'il finissait de discuté avec le Finlandais avant d'entré en réunion, il entendit une voix au combien familière, qui pour lui, était synonyme de bordel. C'était bien sûr États-Unis. Toujours présent pour « sauvé » le monde. Celui-ci parlait avec quelqu'un d'autre;

« - Matthew viens de me texter qu'il ne pourrait pas venir et qu'il a envoyé une de ses provinces pour le remplacer. J'espère que c'est celui avec les cowboys, j'le trouve fucking cool! Il pourrait être mon acolyte!

- J'aimerais que ce soit celui avec le China Town aru. »

Québec entra dans la salle à ce moment et bien sûr, États-Unis ne pouvaient caché sa déception;

« - Ah merde, c'est celui qui parle français! »

Marcel ignora ce commentaire non sans grogner un peu et alla prendre la place de Matthew qui serait la sienne pour les prochaines heures. Quelquefois, il s'imaginait venir ici en tant que pays, fièrement assis à côté de Canada, respirant la réussite d'avoir contré plusieurs fois l'assimilation anglaise et d'être devenu un pays unique en Amérique du Nord. Il attendit que la réunion commence, chacun parlerait tour à tour, et comme d'habitude, États-Unis voulaient être le premier à parlé;

« - Mon système d'éducation c'est le meilleur! Tout le monde devrait faire comme moi! Parce que je suis le pays de la liberté et que je suis le héros! AHAHAH!

- Câlisse, USA, si tout l'monde était comme toi on ne serait même pas ici en train de faire une esti d'réunion sur là dessus merde! Tes écoles coûtent crissement cher, les miennes son abordable au moins! Faudrait pas être obligé d'être fucking riche pour pouvoir aller à l'école tabarnak! Pis aussi y devrait apprendre qu'ya autre chose en dehors de chez eux aussi! Ça casserais pas deux pattes à un canard siboire!

- Du calme aru. Je crois que tout le monde devrait prendre exemple sur moi aru. Vos systèmes ne son pas assez stricte aru. Les gens deviennent plus intelligents et apprennent mieux aru. Les professeurs ne doivent pas être des fiches molles aru. Sinon on n’arrive à rien aru.

- Moi je pense qu'ils sont tous très bien...Il ne faut pas être trop stricte non plus, juste un peu, mais pas trop. Il faut y aller avec modération. Pareille pour les coûts. »

Commencèrent plusieurs heures de débat interminable. Entre États-Unis répétant qu'il est le héros du monde à chaque critique faite sur lui, Chine qui disait que sa politique d'éducation était meilleure parce qu'elle était plus stricte et Finlande qui disait qu'ils étaient tous très bien malgré leur lacune, Québec c'était mit à soupiré et à essayer de se contenir. Cette situation était intenable pour lui. Il n'était qu'une province et devait tenir tête à des pays dans un débat qui commençait à perdre tout son sens. Marcel en avait plus que marre rendu à ce stade. Tout ce qu'il voulait maintenant était de se tirer de là au plus vite et de retourner chez lui. Chine n'eut qu'une dernière réplique avant que le Québécois ne pète un câble;

«- Vous savez quoi? J'en ai plein l'cul d'vous autres câliss! USA, tes écoles coûtent trop fucking cher, Chine, les tiennes son justement trop strict siboire, s'pour ça que tes étudiants viennent au Canada criss. Finlande, je sais même pas comment ça marche chez vous tabarnak, comment veux-tu que j'donne mon opinion dessus!? »

Un silence s’était installé pendant que Québec reprenait son souffle, un silence bien lourd soutenu par les regards fixer sur lui. États-Unis laissa échapper un rire peu assuré.

« - Quoi criss? J'ai dis s'que j'pensais, maintenant j'décriss, faites s'que vous voulez j'm'en tabarnak. »

Il se leva de son siège, reprit ses affaires et quitta la pièce. Il se précipita en dehors du bâtiment, alla jeter ses affaires sur le siège passager de sa voiture et alla marcher un peu. Il avait besoin grand besoin de respiré et de se calmer. Il aurait bien voulu se prendre une cigarette, mais il n'en avait pas sur lui et n'avait pas envie d'aller en acheter, alors il devrait faire sans. Cette réunion l'avait mise de très mauvais poil. Il se rendit au bar le plus proche et commanda une bière. Boire le calmerait forcément un peu et il pourrait alors réfléchir à ce qu'il dirait dans son rapport, il pourrait déclaré cette réunion un fiasco total, mais cela ne l'aiderais en rien, il devrait donc réinventé la réunion de toutes pièces, pour faire comme si tout c'était bien passé. La prochaine fois que Matthew voudra envoyer une province en réunion, il passera son tour avec plaisir.


♠♥ AIME: Porté des chemises à carreaux, se saouler, faire la fête, le hockey, le sirop d'érable, la poutine, draguer, les motos, les automobiles, contredire les gens et gagner un argument.
♠♥ N'AIME PAS: Quand la poutine est froide, quand son équipe de hockey perd, la plupart des trucs anglais, la politique et quand États-Unis croit qu'il peu entré chez lui comme dans un bar à pain.


♠♥ AVATAR: Je voulais prendre PewDiePie, mais finalement j'ai dû me rabattre sur Gero (chanteur de niconico) parce que j'ai pas trouver d'image qui fasse l'affaire TT

♠♥ AVOIR UN GRAND FRERE?: [X]OUI [ ]NON
♠♥ TEINTE SOUHAITÉE: Dodgerblue

♠♥ ET AUTRES: Je me suis permise de mettre des barres de déffilement pour pas que mon poste fasse 4 kilomètre de long (surtout à cause de l'histoire). Si ça dérange, je peux les retirer ^^


Dernière édition par Québec le Jeu 1 Nov - 21:52, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: || Un bûcheron est maître dans sa maison!   || Un bûcheron est maître dans sa maison! Icon_minitimeVen 24 Aoû - 7:47

MARCOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU !!!!! ♥ *GLOMP*

(Sinon bienvenue et bon courage, honhon, je suis la première o/)
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MessageSujet: Re: || Un bûcheron est maître dans sa maison!   || Un bûcheron est maître dans sa maison! Icon_minitimeVen 24 Aoû - 8:50

*Profite du reseau McDo* MARCEEEEEEEEEEE[...]L <3

Bienvenuue <3
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J'vous laisse faire ce que vous voulez 8D
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MessageSujet: Re: || Un bûcheron est maître dans sa maison!   || Un bûcheron est maître dans sa maison! Icon_minitimeVen 24 Aoû - 10:10

Oh yeah Marcel ! Cool de te voir ici 8'D
Bienvenue ! Bon courage pour le test rp o/
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Fonda

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MessageSujet: Re: || Un bûcheron est maître dans sa maison!   || Un bûcheron est maître dans sa maison! Icon_minitimeVen 24 Aoû - 12:17

Oh, toi, j't'ai déjà vu quelque part.

Bienvenue =)
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MessageSujet: Re: || Un bûcheron est maître dans sa maison!   || Un bûcheron est maître dans sa maison! Icon_minitimeVen 24 Aoû - 18:43

Oh! Québec ! Je suis contente de te voir ici^^ *kick le truc mignon tout plein*

Courage pour ton test RP^^

Lankou
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Québec

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MessageSujet: Re: || Un bûcheron est maître dans sa maison!   || Un bûcheron est maître dans sa maison! Icon_minitimeVen 24 Aoû - 21:14

Merci à vous tous :3 *hug*

Alors j'ai fini ma fiche, j'espère que mon test RP est pas trop mal ^^
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MessageSujet: Re: || Un bûcheron est maître dans sa maison!   || Un bûcheron est maître dans sa maison! Icon_minitimeMar 28 Aoû - 13:25

    UF8REU4F89EZF8ERUZF98EUY4FUEHRFOIEZ80UF98ZEUGEOT8
    CHOUPIDOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU !
    *balance des pétards*
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MessageSujet: Re: || Un bûcheron est maître dans sa maison!   || Un bûcheron est maître dans sa maison! Icon_minitimeMar 28 Aoû - 20:23

Bienvenuuuuue =D

Eh bien je pense que c'est tout bon, je te valiiiide et ton surnom, ce sera simularbre ! *parce que j'ai de l'inspiration aujourd'hui, c'est incroyable...sentez l'ironie*
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MessageSujet: Re: || Un bûcheron est maître dans sa maison!   || Un bûcheron est maître dans sa maison! Icon_minitimeMar 28 Aoû - 21:22

*Hug sa choupidou au passage*

Merci Grèce!
Gosh j'adore le surnom xD
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MessageSujet: Re: || Un bûcheron est maître dans sa maison!   || Un bûcheron est maître dans sa maison! Icon_minitime

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